Pratiquement toutes les industries utilisentvérins hydrauliques- des creuseurs qui construisent des maisons, des équipements de gym sur lesquels nous transpirons, etc. Mais qu’est-ce qui motive ces bêtes de somme ? En tant que fabricant incontournable de composants hydrauliques, HCIC fabrique des vérins conformes à des conceptions éprouvées, avec des améliorations modernes pour les travaux difficiles d’aujourd’hui. Ce guide traverse le jargon pour décomposer les pièces des vérins hydrauliques HCIC, comment les monter et comment ils sont assemblés.
Les cylindres HCIC reposent sur 8 pièces simples, chacune effectuant un travail qui assure le bon fonctionnement de l'ensemble du système :
1. Embout (culasse)
Fonctionne avec la chape pour bloquer la pression. Les gens l’appellent « l’extrémité aveugle » parce qu’elle est cachée à l’intérieur du canon, à l’abri des éléments. HCIC le fixe avec des boulons lourds ou des filetages précis, et vous pouvez choisir un presse-étoupe séparé ou un joint de tige intégré, en fonction de vos besoins.
2. Port
Le trou petit mais critique où le fluide hydraulique entre et sort. Les cylindres à double effet disposent de deux ports (un à chaque extrémité), avec le piston placé entre eux pour contrôler le mouvement de va-et-vient. Les fuites commencent souvent ici, c’est donc un endroit privilégié à vérifier lors des réparations.
3. Pistons
Se place à l'intérieur du canon, le divise en deux zones de pression et pousse la tige du piston pour créer une force. Il a deux positions par défaut : rétracté (suspendu) ou étendu (suspendu). Savoir lequel utilise votre cylindre est important si le courant est coupé en cours de tâche : vous ne voulez pas détruire votre équipement par erreur. HCIC les usine de manière étanche pour éviter les fuites et maintenir une pression stable.
4. Tige de piston
La pièce résistante qui transmet la force du piston à vos machines. Sa surface lisse et polie arrête les fuites. Le HCIC affirme donc que seuls les ateliers de réparation agréés doivent effectuer l'entretien afin de conserver cette finition intacte. Il est boulonné ou fileté sur le piston, ce qui lui permet de supporter de lourdes charges sans glisser.
5. Baril de cylindre
La coque en acier épaisse qui maintient toutes les pièces intérieures et contient la pression. HCIC sélectionne différentes qualités d'acier en fonction de ce que fait le cylindre (soulever des objets lourds ou travailler dans des endroits restreints) pour s'assurer qu'il ne se plie pas ou ne se fissure pas sous l'effet des contraintes.
6. Glande (glande de phoque)
S'adapte là où la tige de piston rencontre le capuchon d'extrémité, rempli de minuscules joints pour arrêter les fuites de liquide. La meilleure partie ? La conception du HCIC vous permet de remplacer ces joints rapidement, ce qui vous permet de passer moins de temps à réparer et plus de temps à travailler.
7. Sceau
Petits mais puissants, ceux-ci sont dispersés dans tout le cylindre pour bloquer les fuites pendant le mouvement du piston. HCIC sélectionne les matériaux en fonction de la tâche à accomplir : des joints résistants à la chaleur pour les environnements chauds, du polyuréthane pour les températures froides (afin qu'ils ne se fissurent pas) et du Zurcon ou du PTFE pour les travaux en usine à haute friction. Pour les travaux très difficiles et à haute pression, ils ajoutent des bagues d'appui aux joints pour plus de protection.
La façon dont vous montez un cylindre fait une énorme différence dans ses performances et sa durée de vie. HCIC propose quatre styles de montage éprouvés, chacun adapté à différents travaux :
1. Support à chape
Compatible avec les pivots, idéal pour les équipements qui doivent se balancer dans un arc, comme les bras d'une excavatrice. Il est maintenu ensemble par des broches et des anneaux d'arrêt en acier, et le montage sur l'axe central permet de réduire l'usure.
2. Montage sur bride
Un support fixe qui se boulonne directement sur la culasse, à l'aide d'une plaque plate pour verrouiller le tout. L'absence de joints ou de roulements signifie qu'il est extrêmement solide et stable, parfait pour les machines lourdes qui bougent peu.
3. Support à tourillon
Inspiré des anciens supports de canon, il utilise des extensions cylindriques pour permettre au cylindre de pivoter de haut en bas. Idéal pour les équipements nécessitant de grands réglages d’angle pendant leur fonctionnement.
4. Support à cosse
Pattes métalliques fixes soudées ou usinées sur la culasse et le capuchon. Il est robuste, mais ne gère pas bien le désalignement. Il est donc préférable pour les machines stationnaires qui restent en place pendant le fonctionnement.
HCIC ne jure que par des pièces propres lors de la construction de cylindres : la saleté et la crasse sont les pires ennemis du bon fonctionnement. Voici le processus d’assemblage simple :
1. Vérifiez chaque pièce pour déceler des rayures ou des saletés, puis insérez les joints, les roulements et les anneaux d'arrêt à leur emplacement.
2. Boulonnez le piston et le capuchon d'extrémité à la tige, puis enduisez les joints d'huile pour faciliter leur glissement.
3. Badigeonnez d'huile l'intérieur du corps du cylindre, puis faites glisser la tige de piston (l'extrémité du piston en premier, ne mélangez pas).
4. Ajoutez des graisseurs et des roulements, et le tour est joué.
Vérins simple effetprennent moins de temps à assembler que les cylindres à double effet, mais HCIC ne lésine pas sur la qualité : chaque cylindre subit les mêmes contrôles stricts avant de quitter l'atelier.Pour plus de détails, veuillez nous envoyer un e-mail à « davidsong@mail.huachen.cc » ou rechercher sur Google « HCIC hydraulique »